Historiquement, Botanic a été créé en 1995 par des horticulteurs savoyards. Des gens qui aime la montagne. Le jardin et la nature sont les racines et la raison d’être de l’enseigne. Sa mission est de rendre le jardin de ses clients bénéfique et vrai grâce à des techniques naturelles.
Alors un beau jour de 2008, Botanic va prendre le risque financier et commerçant de ne plus vendre des pesticides chimiques de synthèse dans tous ses magasins. Au nom de leur conviction sur la nocivité de ces produits, les dirigeants savent pertinemment que cela va grever leur chiffre d’affaires.
Botanic est à ce jour la seule enseigne de jardineries à avoir pris cet engagement.
Ce positionnement de « jardinage écologique » est une vraie différence vis à vis de la concurrence.
Très bien résumé dans un « petit précis de vérité » que vous trouverez à l’accueil de chaque magasin, il ne se réduit pas à de la stricte communication out store. L’enseigne est en train de déployer, sur le circuit client de ses magasins, ces messages de différenciation et d’attribution d’enseigne. Chaque espace produit propose des solutions concrètes de «jardinage écologique » Comment donner une seconde vie à son eau de pluie ? Comment désherber naturellement? Pourquoi et comment favoriser la biodiversité ?
Une posture et des solutions simples expliquées par une communication in store appuyée par les équipes magasins qui portent les messages forts de l’enseigne.
Nous sommes là dans une démarche très moderne de commerce : une enseigne avec une vraie identité, une vraie transparence, une posture honnête, de vraies différences vis à vis de la concurrence, de vrais bénéfices pour ses consommateurs relayés par une communication simple et claire pour que chaque client se sente concerné et puisse prêcher la bonne parole sur les réseaux sociaux. Des équipes magasins, 2400 personnes formées et concernées, qui sont les vrais porte-paroles de l’enseigne.
Pour conclure, deux phrases importantes qui situent bien la démarche de Botanic dans le durée et la persistance de ses efforts. Elle pourraient faire réfléchir bons nombres de commerçants français et internationaux :
« On récolte ce que l’on sème « et « Le jardin vous le rendra. »
En collaboration un mardi sur deux avec Marketing Magazine et le site e-marketing